Pourquoi avoir pris part à l’aventure « Semaine Cétogène » ?
La semaine céto était une initiative de notre chef de marque Vincent. J’ai une maladie intestinale, donc suivre un régime cétogène pendant une semaine entière n’était pas possible pour moi. J’ai donc décidé de faire une journée céto parce que je voulais découvrir à quoi ressemble une journée dans la vie de nos patients céto.
Qu’en as-tu pensé ? Qu’as-tu ressenti ?
Je dois admettre que j’ai sous-estimé le travail de préparation des repas. Lorsque vous devez vraiment cuisiner quelque chose pour le petit-déjeuner, le déjeuner et le dîner, vous perdez beaucoup de temps. J’avais l’impression d’être dans la cuisine pendant la moitié de la journée. Comme je n’ai suivi le régime que pendant une journée, je n’en ai évidemment pas ressenti les effets, mais j’ai bien aimé les plats. Bien sûr, les plats ont une texture et goût différents, mais vous pouvez vous y habituer si vous suivez le régime plus longtemps.
Quelle a été le plus grand défi que tu as rencontré ? / Quels sont selon toi les plus grand défis de la cuisine cétogène?
J’ai personnellement trouvé difficile de tout trouver au supermarché. En tout cas, je suis quelqu’un qui n’aime pas du tout faire les courses. Lorsque vous devez ensuite acheter des produits que vous n’achèteriez jamais autrement et que vous ne savez donc pas où ils se trouvent, cela devient vraiment un défi. Lors de la préparation proprement dite, il est bien sûr très important de peser toutes les quantités avec une grande précision et de ne pas utiliser plus que ce qui est autorisé. Parce que je cuisine habituellement au « feeling » en termes de quantités, c’était aussi un ajustement pour moi de suivre toutes les étapes de la recette à la lettre.
Avais-tu déjà entendu parler du régime cétogène et des maladies qui y sont liées avant de travailler pour Vitaflo ? Où et quand ?
J’avais déjà entendu parler du régime cétogène avant de commencer à travailler chez Vitaflo. Principalement avec des amis qui sont beaucoup impliqués dans la musculation et qui essaient d’atteindre le pourcentage de graisse le plus bas possible. Avec eux, les glucides sont le groupe alimentaire à éliminer et l’accent est mis sur l’absorption de beaucoup de protéines et de graisses.
Pour continuer sur le sujet : Avais-tu de l’expérience en cuisine cétogène ? Si oui, comment ? Si non, qui t’a guidé et comment cela s’est-il passé?
Je n’avais moi-même aucune expérience de la cuisine cétogène, mais les recettes que nous avons reçues de Vincent étaient très claires et très faciles à suivre. En conséquence, tout s’est bien passé.
Tu es plus huile d’olive ou huile de tournesol? Pourquoi?
J’utilise normalement toujours de l’huile d’olive. Je pense que c’est plus une habitude. J’utilise de l’huile de tournesol pour faire frire des frites car j’ai entendu dire que ça peut résister à des températures plus élevées que l’huile d’olive.
Quels ont été tes ingrédients préférés à cuisiner?
Le riz au chou-fleur a été une découverte pour moi. Je ne savais pas qu’en râpant simplement un chou-fleur, on pouvait faire une alternative végétale au riz. C’est quelque chose que je vais certainement essayer d’intégrer dans ma cuisine quotidienne.
Quel a été ton plat préféré à réaliser ? Et à manger ?
Mon plat préféré à faire était la crème glacée. Je ne savais pas que c’était aussi simple de le faire soi-même. La glace avait bon goût aussi, mais elle collait un peu au palais parce qu’il y a beaucoup de matières grasses. En tant qu’amateur de crème glacée, c’était étrange. En termes de goût, je trouve que le brownie était le meilleur plat de la journée.
Après cette semaine, as-tu une astuce en or pour la cuisine cétogène ? (Par exemple, une certaine méthode de cuisson, des épices spéciales, l’utilisation d’une machine …)
J’ai dû me procurer une balance de cuisine de mes beaux-parents parce que je ne l’utilise jamais moi-même. Donc, pour tous ceux qui veulent cuisiner cétogène: assurez-vous de l’avoir à la maison.